La COVID a fermé les restaurants, les cafés et réduit l’activité des hôtels.  Elle a réduit la fréquentation des restaurants d’entreprise. Alors nous avons tous hâte que l’épidémie cesse et que l’activité reprenne. En trouvant ses missions comme avant ? Sûrement pas ! Dans le travail temporaire, l’année 2021, c’est faire valoir ses compétences partout où elles sont utiles !

SAPPES COMME JAMAIS !

A quoi reconnait-on un élève d’école de restauration ? C’est le seul jeune de 15 ans qui se balade dans la rue avec un costume et un nœud papillon ! Et à quoi reconnait-on un employé polyvalent de la restauration ? Il est habillé comme s’il sortait d’un bloc opératoire !

Les vêtements, ce sont des symboles. La tenue de pompier, l’uniforme de policier, le tailleur de la commerciale, chaque métier a son « dress code ». Et dans l’hôtellerie/restauration, tout autant qu’ailleurs. Et les uniformes, ça a tendance à ne pas se mélanger !

L’HUILE ET LE VINAIGRE, CA FINIT PAR SE MELANGER

Pourtant, la crise a montré que dans notre secteur d’intérim, on pouvait faire autrement.
Les intérimaires qui ont fait le choix de passer de la restauration traditionnelle à la restauration collective, ont eu plus de missions que les autres (notre portait YouTube d’une intérimaire qui a fait ce choix).  Forcément !

Quand les restaurants vont rouvrir (normalement) à la fin du printemps, évidemment, ils auront besoin de bras, de cuisiniers, de serveurs, etc… Mais les besoins en restauration collective seront toujours là eux-aussi. Et les intérimaires qui oseront faire les deux, qui oseront ranger le costard pour la tenue blanche, seront doublement gagnants !

Plus de missions, mais surtout, des compétences professionnelles à toutes épreuves. Et ça, pour trouver du boulot en CDI ou CDD long ensuite, c'est essentiel !

Alors, qui va laisser tomber les dress code et oser multiplier les univers de travail ?